SFODF - Société Française d'Orthopédie Dento-Faciale
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France
<p>La réduction amélaire proximale (RAP) a été mise en avant par Sheridan et Zachrisson, dans les années 1980.</p>
<p>Actuellement, elle connaît un renouveau et un intérêt clinique grandissants.</p>
<p>La notion d’encombrement et de gain de place qu’elle permet est une notion toujours actuelle.</p>
<p>Elle est complétée par d’autres indications comme la gestion de l’harmonie dento-dentaire et parodontale, intra- et inter-arcades.</p>
<p>Dans les situations limites, le gradient thérapeutique nous guide et la RAP s’impose opportunément ; soustraire 25/100e de millimètre d’émail sur des faces dentaires constitue une solution pertinente face aux extractions ou à l’expansion excessive.</p>
<p>Les bénéfices de la RAP sont importants dans la gestion du parodonte, notamment au niveau des papilles inter-dentaires.</p>
<p>La RAP permet de maîtriser l’anatomie de l’espace inter-proximal «temple » des papilles.</p>
<p>L’évaluation du rapport risque/bénéfice guide notre décision thérapeutique.</p>
<p>Les éléments qui nous permettent de cerner les indications sont relativement simples à analyser.</p>
<p>En revanche, assurer la finition d’un geste qui peut remettre en question l’intégrité de la dent nécessite une démarche précise, une instrumentation adaptée et un geste sûr. Des travaux pratiques permettront de concrétiser cette démarche.</p>
<ul><li>Ce que nous apportera la Journée de Prestige 2025 : Ce qui nous fera progresser :</li><li>Acquérir une connaissance des principaux protocoles de contention fondée sur la littérature scienti- fique internationale récente.</li><li>Avoir un aperçu des taux de survie et d’échec des différents types d’appareils de contention disponibles.</li><li>Obtenir une mise à jour au sujet de la stabilité à long terme des traitements orthodontiques, basée sur l’évidence scientifique disponible à ce jour.</li></ul>
<p>La classe II est la malocclusion la plus fréquemment rencontrée dans nos cabinets et elle représente la majorité de nos traite- ments. Mais, si on parle de « LA » classe II, il est à noter que ce terme général regroupe tout un ensemble de formes cliniques très différentes et qui doivent se traiter de façons variables en fonction de la forme clinique ainsi que de l’âge de prise en charge. Ainsi, on pourra opter pour des solutions qui vont de l’interception à la chirurgie par exemple.<br><br>A ce schéma clinique déjà varié vient aujourd’hui s’ajouter un outil thérapeutique de plus en plus plébiscité par les orthodontistes et les patients : les aligneurs ! Ce « nouvel » outil à notre disposition est-il suffisamment efficace pour réaliser nos traitements ? La réponse est OUI, mais comme tout dispositif de traitement, il faut maîtriser ses indications, le moment du traitement, ainsi que les éventuels auxiliaires ou gestes complémentaires à ajouter (élas- tiques, minivis, chirurgie...) afin de permettre d’obtenir le résultat clinique optimal.<br><br>Cette journée de formation a pour objet de permettre la compréhension biomécanique des aligneurs dentaires et de l’appliquer aux différentes situations cliniques dans les cas de classe II.</p>
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