En association avec IFA Plus
Le pourcentage des patients qui souffrent de ce trouble est estimé à 10% dans les consultations dentaires et esthétiques (un chiffre reconnu comme sous-évalué)
Les demandes esthétiques sont en hausse, les problèmes croissants et les plaintes de plus en plus fréquentes.
- Mieux connaître le trouble dysmorphophobique (BDD)
- Savoir le détecter chez les patients
- Préserver la relation thérapeutique et l'efficacité des soins avec eux
- Se protéger des risques (médicaux et légaux) encourus avec ces patients (il existe des cas de poursuite en justice pour non-diagnostic du trouble préalablement aux soins)
- S'exercer par des mises en situation
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Contact
- Marie-Claire Hugly
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