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Action de formation DPC : En cours de publication  Les récessions gingivales sont un motif de consultation fréquent et sont sources de stress pour nos patients. La chirurgie plastique parodontale ou chirurgie muco-gingivale regroupe l’ensemble des techniques additives et soustractives visant à améliorer le complexe muco-gingival, aussi bien d’un point de vue esthétique que fonctionnel. Certaines chirurgies muco-gingivales permettent parfois d’assurer la pérennité d’un traitement prothétique. Il est important de faire le point sur cette pratique qui nécessitent des connaissances biologiques, histologiques et une maitrise technique. Dans un contexte de « minimalement invasif », il est important de mettre en avant les avantages et les limites de chacune des techniques et d’étudier les possibilités d’alternatives. Objectifs pédagogiques • Apprendre à maitriser les étapes préalables à la chirurgie muco-gingivale dans votre pratique quotidienne • Maitriser les fondamentaux de l’anatomie et de l’histologie parodontale • Connaître le matériel en chirurgie muco-gingivale • Savoir identifier les facteurs prédisposants et déclenchants des récessions gingivales • Connaître les différentes techniques et les indications des chirurgies plastiques parodontales • Réaliser vos premières chirurgies plastiques parodontales • Savoir gérer les échecs et les complications • Connaître les astuces pour simplifier et pratiquer la chirurgie muco-gingivale en omnipratique 1 - Les indications de la chirurgie muco-gingivale • Quels critères cliniques faut-il analyser ? • Analyse de la littérature concernant les chirurgies muco-gingivales • Respect du gradient thérapeutique • Intérêts de la thérapeutique parodontale non chirurgicale • Indications et contre-indications des chirurgies muco-gingivales • Quand faut-il réaliser une chirurgie muco-gingivale ? 2 - Matériel, incisions, sutures • Généralités sur les incisions et sutures • Les instruments chirurgicaux et les lames • Les fils de suture • Les incisions en épaisseur totale et en épaisseur partielle • Les sites de prélèvement du tissu conjonctif et leurs spécificités 3 - Les différentes techniques de chirurgie plastique parodontale • Les greffes épithélio-conjonctives • Les lambeaux déplacés • Les techniques associées 4 - Prescription, conseils et complications en chirurgie muco-gingivale • L’ordonnance post-opératoire • Les conseils opératoires • Les complications en chirurgie muco-gingivale 5 - La chirurgie muco-gingivale en pratique quotidienne : trucs et astuces • L’élongation coronaire en prothèse fixée • Les frenectomies • Chirurgie muco-gingivale adapté à l’omnipratique Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

https://www.eugenol.fr/evenements/la-chirurgie-muco-gingivale-8488

La chirurgie muco-gingivale

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Action de formation DPC : Disponible en 2023 Les lésions intra-osseuses (LIO), également appelées de défauts osseux verticaux ou angulaires, sont des lésions parodontales souvent présentes chez les patients atteints de parodontites avancées. Elles sont associées à des poches parodontales profondes, qui constituent les principaux réservoirs bactériens participant dans la progression de la maladie parodontale. Non traitées, ces lésions entrainent l’aggravation des pertes d’attaches et, parfois même, la perte dentaire. Le dentiste généraliste joue ainsi un rôle crucial dans le dépistage précoce de ces lésions. Bien qu’elles nécessitent généralement d’un traitement parodontal complémentaire par voie chirurgicale, l’évolution de l’approche mini-invasive du traitement parodontal non-chirurgical préalable semble améliorer considérablement la situation clinique. Ce concept visant à réaliser un débridement sous-gingival avec un traumatisme tissulaire minimal permet de maintenir les tissus et de limiter au maximum leur migration apicale lors de la cicatrisation. Par ailleurs, d’importants progrès ont permis d’améliorer les techniques chirurgicales et, par conséquent, les résultats cliniques, dans le domaine de la régénération parodontale de ces lésions. Objectifs pédagogiques À l’issue de cette formation, vous aurez la capacité de : • Élaborer un bilan parodontal complet • Mettre en place des nouveaux protocoles du traitement parodontal non-chirurgical permettant une meilleure préservation tissulaire • Connaître l’évolution des techniques chirurgicales dans le domaine de la régénération parodontale • Savoir analyser correctement l’anatomie des lésions intra-osseuses et leur potentiel de régénération • Choisir la meilleure technique en fonction de la situation clinique • Maîtriser les techniques de chirurgie parodontale mini-invasive 1 - Examen clinique, radiologique et parodontal • Comment réaliser un bilan parodontal complet pour pouvoir poser un bon diagnostic • Nouvelle classification des maladies parodontales 2 - Traitement parodontal non-chirurgical mini-invasif • Première et deuxième étape du traitement parodontal • Évolution de l’instrumentation manuelle et ultrasonique • Plateau clinique : description 3 - Évolution des techniques chirurgicales • Lambeau de préservation papillaire modifié • Lambeau de préservation papillaire simplifié • Chirurgie parodontale mini-invasive • Chirurgie parodontale mini-invasive modifiée • Lambeau de préservation papillaire totale 4 - Diagnostic des lésions intra-osseuses • Nombre de parois osseuses résiduelles • Largeur et profondeur de la lésion • Morphologie de la lésion intra-osseuse et potentiel de régénération 5 - Choix de la technique • Conditions pré-chirurgicales : lésions endo-parodontales, contamination locale, mobilité dentaire • Choix de la technique : Accès chirurgical, type de lambeau, stratégie régénératrice 6 - Chirurgie parodontale mini-invasive • Cas clinique : protocole chirurgical illustré en vidéo 7 - Travaux pratiques • Travaux pratiques sur modèle illustré en vidéos Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

https://www.eugenol.fr/evenements/les-lesions-intra-osseuses-8519

Les lésions intra-osseuses

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Action de formation DPC :  En cours de publication Les restaurations adhésives sont les restaurations de choix de notre dentisterie contemporaine. Cependant, l’évolution continue sans cesse des matériaux et des procédures de collage peut dérouter certains praticiens. Cette formation a pour objectif de faire un état de lieux et de donner les derniers protocoles validés sur les procédures de collage afin que tout praticien puisse réaliser des restaurations adhésives fiables et pérennes dans le temps. Objectifs pédagogiques À l’issue de cette formation, vous aurez la capacité de : • Acquérir les principes de l’adhésion aux tissus dentaires • Connaître les traitements de surfaces des matériaux pour les rendre aptes à une procédure de collage • Savoir choisir un composite de collage • Connaître les céramiques qui se prêtent le mieux au collage Introduction • Intérêts des restaurations adhésives • Place des restaurations adhésives au sein de notre arsenal thérapeutique 1 – L'adhésion aux tissus dentaires • Principe de l’adhésion à l’émail • Principe de l’adhésion à la dentine • Les adhésifs amélo-dentinaires • Collage aux tissus dentaires et impératifs cliniques 2- L'adhésion aux matériaux de restauration • Les céramiques dentaires • Les résines composites • Les alliages métalliques • Les colles d’assemblage 3- Protocoles opératoires et illustrations cliniques • Collage d’un fragment dentaire • Restaurations adhésives en technique directe • Restaurations adhésives en technique indirecte • Bridge collé céramique secteur postérieur 4 – Longévité, vieillissement du joint collé des restaurations adhésives 5 - Synthèse et conclusion Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

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Les restaurations adhésives

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Action de formation DPC : 99F92425042 L’essor simultané des systèmes de Conception Fabrication Assistée par Ordinateur (CFAO) et des systèmes d’assemblage par collage a bouleversé les indications et les procédés de fabrication des restaurations prothétiques comme la prothèse fixée unitaire. Ce changement de paradigme exige un examen minutieux de la situation clinique afin de choisir le type de restauration le plus respectueux des tissus résiduels de la dent à restaurer. Il impose aussi de connaître les derniers matériaux mis à notre disposition pour obtenir une reconstitution la plus esthétiquement et bio-mécaniquement compatible ainsi que les voies de fabrications conventionnelles ou assistées par ordinateur des prothèses unitaires. Enfin la maîtrise des protocoles cliniques de préparations, de prise d’empreinte et d’assemblage sera assurée par la présentation de cas cliniques et de vidéos. Objectifs pédagogiques • Évaluer la situation clinique et établir un plan de traitement favorisant l’économie tissulaire et les reconstitutions biomimétiques • Choisir la thérapeutique prothétique selon le gradient thérapeutique • Connaître les matériaux constitutifs des prothèses d’usage • Connaître les matériaux constitutifs des prothèses provisoires selon les recommandations de la HAS sur la pose d’une couronne dentaire transitoire dento-portée de février 2019 • Connaître les différentes chaînes de production des prothèses fixées unitaires (conventionnelle ou CFAO) • Maîtriser les protocoles de préparations dentaires, d’enregistrement relief dentaire par des empreintes, de confection des restaurations provisoires et d’assemblage de la restauration définitive à la dent support • Intégrer au quotidien les différentes séquences cliniques permettant la pose optimale d’une prothèse fixée unitaire. 1 - Analyse de la situation clinique et démarche thérapeutique • Évaluer le délabrement des tissus dentaires • Démarche biomimétique en prothèse fixée • Définir la nécessité de réfection des restaurations prothétiques préexistante • Établir un plan de traitement et une chronologie des étapes prothétiques 2 - Choix thérapeutique en Prothèse fixée unitaire • Quels sont les différents types de prothèse fixée unitaire • Choisir le type de prothèse le plus indiqué grâce au gradient thérapeutique 3 - Choix des matériaux constitutifs de la restauration prothétique • Les restaurations monolithiques • Les restaurations à infrastructure stratifiées 4 - Procéder à la dépose des restaurations prothétiques défectueuses • Le matériel opératoire des démontages • Protocole de dépose des restaurations défectueuses 5 - Principes d’aménagement des tissus support de la prothèse • Quel type de préparation selon le matériaux constitutif de la restauration • Quel type de préparation selon le type de restauration 6 - Enregistrement des surfaces dentaires et conceptions de la prothèse • Protocole de réalisation des empreintes physiques • Protocole de réalisation des empreintes optiques • Conception conventionnelle et conception assistée par ordinateur des restaurations prothétiques 7 - Pose d’une prothèse provisoire • Quels matériaux utiliser pour la réalisation de la prothèse provisoire • Protocoles de réalisation des prothèses provisoires 8 - De l’essayage à l’assemblage • Vérifier l’adaptation cervicale et occlusale, essayage esthétique • Assemblage par collage ou par scellement ? • Maintenance et suivi Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

https://www.eugenol.com/evenements/approche-actuelle-de-la-prothese-fixee-unitaire-8516

Approche actuelle de la prothèse fixée unitaire

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Action de formation DPC : 99F92325016 Il n’est pas une situation clinique d’édentement qui ne puisse être envisagée sans penser à l’éventualité implantaire. Au-delà de quelques contre-indications absolues tous les patients peuvent prétendent à bénéficier de l’implantologie comme moyen de soutenir des restaurations prothétiques fixes ou stabilisées. Ce sont donc les questions de savoir comment réaliser l’acte implantaire en toute sécurité pour le patient, le praticien et son équipe qui se posent. Quelles sont les conditions de sa pratique sur le plan médico-légal, mais également en termes d’installation, de gestion des risques liés à l’hygiène et l’asepsie ? Comment doit s’organiser l’équipe dentaire pour pratiquer l’implantologie ? La pratique de l’implantologie s’inscrit dans un continuum chirurgical et prothétique. La bonne connaissance d’une situation clinique doit permettre de mettre en œuvre un geste chirurgical que le praticien doit maitriser et comprendre, un geste qui permettra de mettre en place une prothèse issue d’une planification la plus précise possible. Comme tout acte chirurgical, des connaissances minimales et indispensables de biologie, d’anatomie, de physiologie, de biophysique des matériaux sont elles aussi indispensables. Objectifs pédagogiques Savoir sécuriser sa pratique en : • Connaissant les conditions de la pratique de l’acte implantaire (cadre médico-légal) • Sachant comment travailler au sein d’une équipe chirurgicale au service du patient • Maitrisant les aspects fondamentaux, d’anatomie, de biologie et des sciences des matériaux • Construisant le dossier du patient complet et en optimisant l’usage outils digitaux pour fixer les objectifs thérapeutiques le plus précocement possible • En comprenant les principes de base de la chirurgie osseuse et muco gingivale • En sélectionnant les situations cliniques simples en rapport avoir ses propres connaissances et pratiques pour éviter les situations à risque d’échec • Gérant le pré, le per et le post opératoires • Amenant le patient vers la réalisation prothétique de façon fluide 1 - Le praticien • Cadre médico-légal • Facteurs humains et organisationnels : compétences non techniques – travail en équipe • Hygiène asepsie 2 - Le patient • Anamnèses et examens cliniques mis en évidence des facteurs de risques • Les examens complémentaires les outils digitaux 3 - Les biomatériaux • L’implant : l’ostéointégration, critère de choix d’un système • Les autres biomatériaux 4 - La démarche de traitement • Synthèse des besoins exprimés par le patient, • Synthèse des besoins relevés par le praticien • Convergence et explications des options thérapeutiques et prise de décision • Gestion Pré, per, post opératoire • Préparation vers la reconstruction prothétique Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

https://www.eugenol.fr/evenements/la-pratique-securisee-de-l-implantologie-8513

La pratique sécurisée de l’implantologie

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Action de formation DPC : 99F92325005 Les dernières recommandations de la HAS sur les dents de sagesse ont provoqué la polémique ! En limitant les indications d’avulsions, elles réhabilitent lesdites dents de sagesse en 3èmes molaires. En effet, leur mise en place peut éviter les risques chirurgicaux (notre responsabilité peut même être engagée en tant que prescripteur !) surtout qu’elles peuvent constituer une chance pour nos patients. Et pour cause : les dents de sagesse peuvent être mises à profit avec succès par auto transplantation, mésialisation molaire… nous développerons les modalités thérapeutiques (avec ou sans ancrage osseux selon le cas) avec une réflexion biomécanique. De nombreux cas cliniques illustreront nos propos. Objectifs pédagogiques • Poser l’indication d’avulsion des troisièmes molaires et choisir le moment favorable d’avulsion selon les recommandations de la HAS sur l’avulsion des troisièmes molaires • Connaître les risques inhérents à l’avulsion des troisièmes molaires • Choisir la thérapeutique adéquate pour le remplacement d’une molaire absente • Comprendre les subtilités de la biomécanique des thérapeutiques selon l’ancrage : avec minivis ou sans minivis, Abalakov… • Intégrer au quotidien les différentes séquences cliniques de mise en place d’une 3ème molaire 1 - Indications et contre-indications des avulsions de dents de sagesse : quand les dernières recommandations de la HAS font le buzz ! • Dans quels cas extraire les dents de sagesse ? • Évaluer le pronostic d’évolution des dents de sagesse : le point sur les différents moyens d’imagerie • À quel âge poser l’indication d’extraire les dents de sagesse ? 2 - Les risques de l’avulsion des dents de sagesse, responsabilité et coresponsabilité • Quels sont les risques peropératoire et postopératoire ? • Qui doit poser l’indication d’avulsion : le chirurgien-dentiste traitant ou l’orthodontiste ? • Qui est responsable : celui qui pose l’indication ou celui qui réalise le geste chirurgical ? 3 - Dents de sagesse et chirurgie orthognathique • Quels gestes de chirurgie orthognathique implique leur avulsion ? • Avulser avant ou pendant la chirurgie ? Avantages et inconvénients • Avulsion peropératoire : un mode opératoire spécifique ! • Dans quelles situations mettre à profit les dents de sagesse ? 4 - Perte d’une molaire et dent de sagesse : mise en perspective des différentes options thérapeutiques • Protraction molaire • Autotransplantation • Ouverture d’un espace prothétique 5 - Distalisation et dents de sagesse • Distaler implique-t-il l’avulsion des dents de sagesse ? • Quel mode opératoire pour la distalisation : avec ou sans ancrage osseux, Abalakov… ? • Analyse de la biomécanique de distalisation sur minivis 6 - Protraction des secteurs postérieurs et dents de sagesse • Quel mode opératoire pour la protraction : avec ou sans ancrage osseux ? • Analyse de la biomécanique de protraction – Solutions pour déjouer les effets indésirables 7 - Astuces de mise en place des troisièmes molaires lors du traitement actif ou plus tardivement : arc en overlay, arc sectionnel, avec ou sans ancrage osseux Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

https://www.eugenol.fr/evenements/de-la-sagesse-dans-la-gestion-des-3emes-molaires-8529

De la sagesse dans la gestion des 3èmes molaires

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Action de formation DPC : En cours de publication Il n’est pas une situation clinique d’édentement qui ne puisse être envisagée sans penser à l’éventualité implantaire. Au-delà de quelques contre-indications absolues tous les patients peuvent prétendent à bénéficier de l’implantologie comme moyen de soutenir des restaurations prothétiques fixes ou stabilisées. Ce sont donc les questions de savoir comment réaliser l’acte implantaire en toute sécurité pour le patient, le praticien et son équipe qui se posent. Quelles sont les conditions de sa pratique sur le plan médico-légal, mais également en termes d’installation, de gestion des risques liés à l’hygiène et l’asepsie ? Comment doit s’organiser l’équipe dentaire pour pratiquer l’implantologie ? La pratique de l’implantologie s’inscrit dans un continuum chirurgical et prothétique. La bonne connaissance d’une situation clinique doit permettre de mettre en œuvre un geste chirurgical que le praticien doit maitriser et comprendre, un geste qui permettra de mettre en place une prothèse issue d’une planification la plus précise possible. Comme tout acte chirurgical, des connaissances minimales et indispensables de biologie, d’anatomie, de physiologie, de biophysique des matériaux sont elles aussi indispensables. Objectifs pédagogiques Savoir sécuriser sa pratique en : • Connaissant les conditions de la pratique de l’acte implantaire (cadre médico-légal) • Sachant comment travailler au sein d’une équipe chirurgicale au service du patient • Maitrisant les aspects fondamentaux, d’anatomie, de biologie et des sciences des matériaux • Construisant le dossier du patient complet et en optimisant l’usage outils digitaux pour fixer les objectifs thérapeutiques le plus précocement possible • En comprenant les principes de base de la chirurgie osseuse et muco gingivale • En sélectionnant les situations cliniques simples en rapport avoir ses propres connaissances et pratiques pour éviter les situations à risque d’échec • Gérant le pré, le per et le post opératoires • Amenant le patient vers la réalisation prothétique de façon fluide 1 - Le praticien • Cadre médico-légal • Facteurs humains et organisationnels : compétences non techniques – travail en équipe • Hygiène asepsie 2 - Le patient • Anamnèses et examens cliniques mis en évidence des facteurs de risques • Les examens complémentaires les outils digitaux 3 - Les biomatériaux • L’implant : l’ostéointégration, critère de choix d’un système • Les autres biomatériaux 4 - La démarche de traitement • Synthèse des besoins exprimés par le patient, • Synthèse des besoins relevés par le praticien • Convergence et explications des options thérapeutiques et prise de décision • Gestion Pré, per, post opératoire • Préparation vers la reconstruction prothétique Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

https://www.eugenol.fr/evenements/la-pratique-securisee-de-l-implantologie-8511

La pratique sécurisée de l’implantologie

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Action de formation DPC : En cours de publication L’incessante évolution des techniques et matériaux rendue possible par la dentisterie adhésive est venue offrir de nombreuses possibilités thérapeutiques aux chirurgiens-dentistes. Ces différentes approches minimalement invasives permettent non seulement de respecter le gradient thérapeutique en préservant au maximum les tissus dentaires, mais également de simplifier leur abord grâce à des protocoles reproductibles et applicables dans un exercice quotidien, tout en garantissant un résultat esthétique satisfaisant. Objectifs pédagogiques • Poser les bonnes indications entre restaurations directes ou indirectes • Donner des clés pour une bonne analyse de la situation préalablement à toute exécution clinique • Acquisition de protocoles cliniques simples, reproductibles et applicables dans un exercice quotidien • Savoir choisir la bonne technique et le bon matériau selon la situation clinique • Donner des trucs et astuces permettant de faciliter l’exécution clinique de ces thérapeutiques. 1 - Analyser, diagnostiquer et poser l’indication • Indications / Contre-Indications des restaurations directes et indirectes antérieures • Intérêt et techniques de pose du champ opératoire • Présentation des critères esthétiques du sourire • Outils d’analyse esthétique et de communication avec patient et prothésiste 2 - Les restaurations directes antérieures : partie 1 • Observer avant d’agir : Analyse préalable de la situation • État des lieux sur les composites disponibles pour le secteur antérieur • Limite des composites en secteur antérieur • Matériel nécessaire à la réalisation de composites stratifiés 3 - Les restaurations directes antérieures : partie 2 • La stratification anatomique multicouche • La stratification anatomique bi-laminaire simplifiée • La fermeture de diastème • Les composites injectés • Finition et polissage • Empreinte et temporisation 4 - Les restaurations indirectes partielles collées antérieures : partie 1 • Wax-up et Mock-up : proposer par la technique de cire montée et valider à l’aide du masque en résine • Les différents temps de la préparation 5 - Les restaurations indirectes partielles collées antérieures : partie 2 • Le protocole d’assemblage des facettes en céramiques collées Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

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Approche contemporaine des restaurations antérieures dire...

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Action de formation DPC : 99F92425038 Les hypominéralisations molaires incisives (M.I.H) font incontestablement partie des sujets du moment en Odontologie. Chaque praticien a été confronté un jour à la gestion de cette anomalie de structure de l’émail ou a dû répondre à des questions sur le sujet. Par sa fréquence relativement élevée (près de 15% de patients atteints), par les catégories de dents touchées (essentiellement les premières molaires et les incisives permanentes, dents essentielles fonctionnellement et esthétiquement), par les délabrements rapides pouvant survenir en quelques semaines ou quelques mois, les MIH doivent être prises en charge rapidement impliquant un diagnostic précoce. Le traitement intègre des thérapeutiques préventives, restauratrices, voire l’avulsion de molaires permanentes avec prise en charge orthodontique. Objectifs pédagogiques À l’issue de cette formation, vous aurez la capacité de : • Connaitre les caractéristiques de l’anomalie • Diagnostiquer les MIH et les distinguer des autres anomalies de structure • Identifier les cas simples à gérer et les cas complexes nécessitant parfois de déléguer • Savoir bâtir un plan de traitement dans le cadre de cette anomalie • Maitriser les thérapeutiques préventives • Maitriser les thérapeutiques restauratrices • Poser l’indication d’extraction de premières molaires • Maitriser les thérapeutiques esthétiques des dents antérieures 1 - Les connaître • Introduction • Définition • Terminologie • Prévalence • Étiologie • Ultrastructure • Axes de recherche 2 - Les diagnostiquer • Examen clinique et diagnostic • Diagnostic différentiel • Sévérité • Difficultés spécifiques • Dépistage : hspm 3 - Réaliser un plan de traitement 4 - Thérapeutiques préventives • Reminéralisation • Scellement des sillons 5 - Restauration directe et adhésion • Le point sur l’adhésion sur tissu hypominéralisé • Restaurations directes en matériaux composites (choix limites) • Restaurations directes en GIC 6 - Restauration indirecte • Dent pulpée • Sur dent dépulpée 7 - Prise en charge esthétique • La problématique de l’éclaircissement • L’infiltration résineuse en profondeur • Les masques composites 8 - Extraction des PMP Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

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M.I.H : Le défi du jour, les solutions du moment

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Action de formation DPC : 99F92325003 Cette formation doit permettre aux participants de pouvoir traiter les prothèses implantaires de faibles étendues. Seules les étapes de prothèses seront traitées et non les étapes chirurgicales. Plusieurs systèmes implantaires sont décrits, avec des implants à la fois en position de bone level ou de soft tissue level. Nous aborderons les techniques de prises d’empreintes (ciel ouvert, ciel fermé, clipsée) ainsi que les matériaux disponibles, les choix d’assemblage (prothèses vissées ou scellées, unitaires ou plurales), les matériaux d’assemblage. La gestion de la temporisation dans le secteur antérieur, la création et la reproduction du profil d’émergence seront abordés. Pour finir nous traiterons de la prise en compte de l’occlusion, le contrôle des points de contacts et la maintenance de ces prothèses. De nombreuses références bibliographiques appuieront les choix présentés. Objectifs pédagogiques : - Prendre une empreinte implantaire et choisir sa technique ainsi que les matériaux - Choisir entre prothèse scellée et vissée - Gérer l’occlusion des prothèses implantaires - Créer et reproduire un profil d’émergence - Connaître les matériaux constitutifs des prothèses (zircone, titane, disilicate de lithium) - Gérer les points de contacts - Anticiper et mettre en place la maintenance implantaire - Organiser le cabinet Déroulé pédagogique : 1. Généralités Différences entre dents et implants et conséquences cliniques Conséquences du non-remplacement des dents absentes Les autres solutions de remplacements dentaire 2. Le projet prothétique Principe Exemple de traitement en absence de projet prothétique 3. Les empreintes implantaires Empreinte à ciel ouvert/ciel fermé Les matériaux à empreintes et les portes empreinte 4. Les moyens d’assemblage Prothèses scellées ou vissées Prothèses unitaires ou solidaire Les matériaux d’assemblage Choix des matériaux d’infrastructure Propriétés esthétiques et choix des matériaux 5. Cas antérieurs : Création et reproduction du profil d’émergence Mise en forme des tissus mous avec des prothèses provisoires L’empreinte avec transfert personnalisé 6. Le réglage des points de contact 7. Le couple de serrage Les principaux couples recommandés Les moyens de l’appliqués (clés dynamométriques, visseuse) 8. Le réglage de l’occlusion Enregistrement de l’occlusion Réglages de l’occlusion 9. Importance de la maintenance et de l’environnement muqueux implantaire Maintenance au cabinet Maintenance à la maison Importance du suivi sur le long terme 10. Réinterventions 11. Organisation au cabinet Prochaines dates de session : Du Mardi 06 DÉCEMBRE au 31 DÉCEMBRE Du mardi 17 janvier au 21 février  Du jeudi 02 février au 09 mars  Du mardi 28 février au 04 avril  Du mardi 21 mars au 25 avril

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Réussir la prothèse sur implant des édentements unitaire ...

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Action de formation DPC : 99F92325015 Formation Validante : la décision du 20 mars 2012 de l’Union nationale des caisses d’assurance maladie (UNCAM) demande une formation spécifique à l’acte CBCT (coté sous le code LAQK027) en plus de la formation initiale pour qu’il y ait prise en charge de cet examen. L’attestation de suivi de cette formation est demandée aux possesseurs de cone beam lors de l’inspection de l’ASN. Depuis son avènement au tout début des années 2000, le Cone Beam CT s’est affirmé comme un outil incontournable dans la prise en charge des patients en chirurgie-dentaire et chirurgie maxillo-faciale.C’est la meilleure technique d’imagerie pour appréhender les structures dentaires, les structures osseuses maxillo-faciales et les cavités aériennes des sinus de la face. La fabrication des images repose sur l’utilisation des rayons X et toutes les recommandations de radioprotection doivent être appliquées. Il s’agit d’un examen de deuxième intention qui ne doit pas se substituer aux classiques panoramique dentaire, clichés intra-buccaux et téléradiographie de face et/ou profil. Il doit s’intégrer dans une démarche globale d’approche du patient avec comme toujours une approche initiale clinique prépondérante. Bien prescrit, bien réalisé, bien analysé et bien interprété, il permettra par contre une prise en charge thérapeutique optimale dans des domaines aussi divers que l’implantologie, la pathologie tumorale au sens large du terme, l’endodontie, l’orthodontie, les ATM, les dents de sagesse, la traumatologie et les sinusites d’origine dentaire. Objectifs pédagogiques • Savoir prescrire au bon moment, à bon escient et avec le meilleur rendement diagnostique un CBCT tout en prenant en compte les différentes recommandations de radioprotection. Analyse et interprétation des images tumorales et pseudo-tumorales radio-claires et radiodenses avec leurs conséquences thérapeutiques. • Analyse et interprétation des images endodontiques avant, pendant et après traitement canalaire avec leurs conséquences thérapeutiques. • Analyse et interprétation des images orthodontiques (, germe dentaire surnuméraire, ankylose, rhizalyse, etc…) avec leurs conséquences thérapeutiques. • Analyse et interprétation des images pour optimisation et sécurisation de la prise en charge implantaire. • Analyse et interprétation des images de sinusite maxillaire, en particulier d’origine dentaire, avec leurs conséquences thérapeutiques. • Analyse et interprétation des images de dent de sagesse pour optimisation et sécurisation de la prise en charge chirurgicale . • Analyse et interprétation des images multi-modalités (conventionnelle, CBCT et IRM) dans la prise en charge d’un SADAM avec leurs conséquences thérapeutiques. 1 - Juste prescription du Cone beam CT • Le bon patient • Le bon moment • La bonne indication • Prise en compte de la radioprotection 2 - Bonne interprétation du Cone beam CT devant des images tumorales et pseudo-tumorales radio-claires • Séméiologie radiologique de base en Cone-beam : la check-list avant l’interprétation. • Images claires bénignes d’origine dentaire. • Images claires bénignes d’origine extra-dentaire. • Images claires malignes. 3 - Bonne interprétation du Cone beam CT devant des images tumorales et pseudo-tumorales radio-denses • Images denses bénignes d’origine dentaire. • Images denses bénignes d’origine extra-dentaire. • Images denses malignes. 4 - Bonne interprétation du Cone beam CT en endodontie • Les LIPOE. • Anatomie pré-thérapeutique. • Récidive et iatrogénie. 5 - Bonne interprétation du Cone beam CT en orthodontie • Malformation dentaire. • Eléments surnuméraires. • Ankylose. Rhizalyse. Crochet apical. 6 - Bonne interprétation du Cone-beam CT en implantologie • Les obstacles et variantes anatomiques. • Le volume osseux, dimension et qualité. • Les régénérations et les greffes. • La chirurgie numérique guidée. 7 - Bonne interprétation du Cone beam CT des sinus maxillaires • Anatomie en trois dimensions des sinus maxillaires. • Les sinusites d’origine dentaire. • Les autres sinusites. 8 - Bonne interprétation du Cone beam CT avant chirurgie des dents de sagesse • 38/48 et canal nerveux mandibulaire. • 18/28 et structures avoisinantes. 9 - Bonne interprétation du Cone beam CT devant un SADAM • Place du Cone Beam CT dans l’arsenal diagnostique. • Les classiques. • Les pièges. Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

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Cone Beam CT

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Action de formation DPC : 99F92325002 L’endodontie est souvent au cœur du plan de traitement multidisciplinaire que ce soit pour la gestion des urgences (80% des motifs de consultation d’urgences douloureuses sont d’origine endodontique) ou pour indiquer un retraitement ou une extraction. De plus, tout traitement de qualité au niveau parodontal ou prothétique qui concerne une ou plusieurs dents dépulpées ne peut se faire sans une endodontie de qualité. Cette discipline parfois perçue comme complexe et ingrate présente néanmoins d’excellents pronostics pour peu que les critères de soins actuels et les données acquises et avérées sur le plan scientifique soient respectés. Cette formation a pour objectifs de vous donner les clés pour progresser et améliorer sereinement votre pratique en endodontie. Objectifs pédagogiques : • Savoir indiquer les thérapeutiques de vitalité pulpaire • Connaître les indications des CBCT en endodontie • Dépister les pièges et prévenir les erreurs iatrogéniques • Adopter une stratégie en fonction de la situation clinique • Organiser le cabinet afin d’améliorer la prise en charge des patients en endodontie • Réaliser des cavités d’accès de manière efficace sans délabrement coronaire • Estimer les difficultés grâce à l’analyse pré-opératoire • Connaître et comprendre les évolutions du nickel titane 1.Les fondamentaux en endotomie • Indications et contre-indications des traitements endodontiques • Thérapeutiques de vitalité pulpaire • Diagnostic et imagerie • L’anesthésie en endodontie 2.Comment éviter les pièges • Le plan de traitement endodontique • Gestion des patients à risque • Gestion des urgences • Lésions-endo-parodontales • Fêlures coronaires 3.La cavité d’accès endodontique une étape souvent négligée • Reconstitution pré-endodontique • Champ opératoire • Aides optiques et ultra-sons • Réalisation de cavité d’accès cas simple • Gestion des pulpolithes • Réalisation de cavité d’accès cas complexe 4. Actualités sur la triade endodontique (mise en forme/désinfection/obturation) • Les nouveaux traitements thermiques des instruments Nickel-Titane • Choix d’un système de mise en forme • Les protocoles de désinfection • Comparatif des différentes techniques d’obturation endodontique • Choix d’un ciment endodontique 5. Le continuum endo-prothétique • La temporisation en endodontie • Etanchéité apicale versus étanchéité coronaire • Biomécanique de la dent dépulpée • Économie tissulaire et traitement endodontique 6. Réintervenir en endodontie pourquoi, quand et comment ? • La notion d’échec et de succès en endodontie • La dépose des éléments prothétiques coronaires et intra-canalaires • Réaménagement de la cavité d’accès • Désobturation et perméabilité canalaire • Indications de l’endodontie chirurgicale 7. Comment gérer les situations difficiles en endodontie ? • Communication avec le patient • Gestion des apex immatures • Le traitement des perforations • Gestions des résorptions • Gestion des instruments fracturés Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

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L’endodontie pratique

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Action de formation DPC : 99F92325017 Le risque infectieux est un risque constant et inhérent à la pratique dentaire. Il est présent chez tout patient, bien que certaines situations cliniques et médicales augmentent sa probabilité. L’évolution des connaissances nous amène régulièrement à modifier nos pratiques. L’objet de cette formation est de faire le point sur les populations à risque infectieux ainsi que sur les recommandations officielles, mais aussi sur les évolutions à venir. Objectifs pédagogiques À l’issue de cette formation, vous aurez la capacité de : • Faire le point sur les modifications des définitions des populations à risque  • Aider le praticien dans sa prise de décision face à un patient potentiellement à risque • Connaître les éléments et examens complémentaires permettant d’évaluer le risque infectieux • Identifier les situations cliniques présentant un risque plus ou moins important de complication infectieuse • Faciliter la prise en charge en odontologie des patients à risque modéré ou élevé d’endocardite infectieuse • Savoir orienter vers une prise en charge hospitalière quand nécessaire  • Evaluer le risque présumé d’un patient de développer une ostéonécrose  • Redéfinir les actes autorisés ou non en fonction du risque présumé 1 - Identifier les patients à risque • Qui considérer comme immunodéprimé ? Qui considérer comme à risque d’endocardite infectieuse ? • Qui considérer comme à risque d’ostéonécrose ? 2 - Identifier les situations à risque • Qu’est-ce qu’un foyer infectieux bucco-dentaire (FIBD) ? • Quelle est la place des examens complémentaires ? • Quelles complications craindre ? 3 - Risque d’endocardite infectieuse au cabinet dentaire • Un point sur l’endocardite infectieuse en 2021 • Actes autorisés et actes contre-indiqués • La place de l’antibioprophylaxie • Stratégies préventives 4 - Prise en charge du patient immunodéprimé • Actes autorisés et contre-indiqués • Quelle antibiothérapie choisir ? • Stratégies préventives 5 - Risque d’ostéonécrose • Prise en charge des patients à risque d’ostéoradionécrose • A risque d’ostéonécrose médicamenteuse. 6 - Risque infectieux dans la population générale • Quels sont les risques ? • Que disent les recommandations pour la population générale ?  • Place de l’antibiothérapie et de l’antibioprophylaxie dans la population générale : exemple de la dent de sagesse mandibulaire 7 - Où en est la littérature depuis les recommandations ? • Les données récentes quant au risque d’endocardite infectieuse • Quant au risque chez le patient immunodéprimé  • Les données récentes quant au risque dans la population générale Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

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Risque infectieux : dernières recommandations et conduite...

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Action de formation DPC : 99F92325006 Nous sommes tous les jours amenés à voir des patients qui présentent des problèmes parodontaux.Sommes-nous assez attentifs pour les dépister ? Et si oui, que faire devant un problème parodontal ?L’adresser ? Le traiter soi-même ? Le but de cette formation est de donner des moyens d’établir un diagnostic et en fonction de celui-ci de mettre en œuvre une thérapeutique. Cette formation se veut très clinique et concrète sur toutes les premières phases (diagnostic, motivation, traitement non chirurgical) mais sans développer les techniques chirurgicales. Objectifs pédagogiques À l’issue de cette formation, vous aurez la capacité de : • Connaitre la classification des maladies parodontales • Savoir dépister et diagnostiquer une maladie parodontale • Organiser un dossier de traitement d’une maladie parodontale • Planifier le projet thérapeutique • Organiser les séances de motivation • Connaitre et savoir utiliser l’instrumentation ultrasonique 1 - Rappel des notions de base • Le parodonte : anatomie de la victime • Le concept de dysbiose • Les facteurs de risque 2 - La classification des maladies parodontales • La classification • Le diagnostic 3 - La première consultation • L’entretien motivationnel • La communication • Le plan de traitement 4 - Enseignement de l’hygiène orale • Les différents outils et leur mise en œuvre • Les moyens de communication 5 - Le traitement non chirurgical • Le traitement mécanique • Le traitement chimique • L’organisation des séances de traitement 6 - Le suivi parodontal • La réévaluation • La thérapeutique de soutien Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

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Parodontologie non chirurgicale au cabinet : de la théori...

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Action de formation DPC : 99F92325010 Le numérique prend une place grandissante au sein des laboratoires et cabinets dentaires. Il impacte naturellement de plus en plus la prise en charge thérapeutique des patients à travers de nouveaux flux de travail et de nouveaux procédés dont les objectifs sont la simplification des procédures, l’optimisation des étapes cliniques et de laboratoire et une plus grande prédictibilité des résultats.Cela nécessite cependant de nouveaux équipements qu’il convient de choisir judicieusement afin de réussir leur intégration au sein de sa pratique, puis de savoir les mettre en œuvre. Objectifs pédagogiques À l’issue de cette formation, vous aurez la capacité de : • Savoir définir ce qu’est un flux numérique en odontologie. • Maitriser la transmission des données (empreintes, flux numérique, format de fichiers,…) • Connaître les différentes étapes en CFAO dentaire et les procédés disponibles • Savoir comment définir un projet esthétique numérique et le mettre en œuvre. • Savoir quand et comment réaliser la concaténation (matching) de fichiers numériques • Connaître les possibilités en prothèse amovible via un flux de travail numérique • Connaître les différents moyens d’enregistrement numérique de l’occlusion 1 - L’empreinte optique • Les différentes technologies et leurs conséquences cliniques • Caractéristiques techniques et critères de choix • Notion de chemin de scannage en empreinte sectorielle et complète • Transmission des données et formats de fichiers 2 - La conception et la fabrication assistées par ordinateur en prothèse fixée • Matériaux disponibles • Procédés de fabrication et conséquences cliniques • Place de l’impression 3D • Intérêt de la CFAO directe 3 - Enregistrement et contrôle de l’occlusion • Enregistrement de l’occlusion statique • Enregistrement de l’occlusion dynamique • Transfert et exploitation des informations au laboratoire • Contrôle de l’occlusion 4 - Projet esthétique et planification prothétique • Outils numériques d’analyse esthétique • Intérêt du scan facial • Smile design 2D/3D et conception informatique • Procédés de transposition du projet en bouche 5 - Numérique en implantologie • Outils de planification implantaire • Étapes de la planification implantaire • Chirurgie guidée et Navigation • Empreintes numériques sur implants et profils d’émergence • Adaptation des outils à l’endodontie 6 - Prothèse amovible et numérique • Flux numérique en prothèse amovible partielle • Flux numérique en prothèse amovible complète • Usinage vs Impression 3D Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

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Optimiser sa pratique grâce au numérique

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Action de formation DPC :  En cours de publication Les traumatismes dentaires constituent un problème fréquent chez l’enfant, il n’est donc pas rare que le praticien soit confronté à leur prise en charge dans l’urgence. La gestion de ces traumas est souvent source d’interrogations. L’atteinte, la localisation mais également le stade de dentition, complexifient d’autant plus la gestion clinique de la dent traumatisée. Aussi, l’abord psychologique de l’enfant peut parfois être un facteur d’anxiété pour le praticien. Nous avons déterminé 6 questions que peut se poser l’omnipraticien, auxquelles cette formation répondra sous forme de chapitres. Objectifs pédagogiques À l’issue de cette formation, vous aurez la capacité de : • Diagnostiquer et reconnaitre les différents types de traumatismes dentaires • Appréhender les spécificités de la prise en charge de l’enfant (dentaire et psychologique) • Adopter les recommandations sur la gestion thérapeutique des traumas dentaires • Appliquer en cabinet les différentes séquences cliniques de prise en charge d’un trauma dentaire • Connaitre les démarches administratives et médico-légales. 1 - Quels sont les différents types de trauma ? Comment les prévenir ? • Les différents types de traumatismes selon la classification de l’association internationale de traumatologie dentaire (IADT). • Les solutions préventives de ces traumas (protection intra-buccales, orthopédie dento-faciale, etc…). 2 - Quels sont les moyens d’exploration de ces traumas ? • Les indications d’un examen tridimensionnel, d’un cliché occlusal, d’un orthopantomogramme et d’une radiographie rétro-alvéolaire dans un contexte de traumatisme. • Les éléments à rechercher sur ces examens. 3 - Quand extraire ? • L’anatomie des dents temporaires et leurs situations anatomiques en regard des germes dentaires des dents permanentes. • Les différentes situations cliniques nécessitants l’extraction de la dent traumatisée. • La prise en charge des différents traumatismes impliquant les dents temporaires. 4 - Comment réimplanter ? • La prise en charge des différents traumas sur dents permanentes matures et immatures. • Les recommandations de l’IADT sur la prise en charge des traumatismes sur dents permanentes. • Les indications et le type de contention à privilégier 5 - Apexogenèse ou apexification ? • La définition des termes d’apexification et d’apexogenèse. • Les indications de ces 2 techniques. • La réalisation des séquences cliniques de ces 2 techniques.  6 - Quelles peuvent être les conséquences à long terme de ces traumas ? • Les différentes complications post-traumatiques • Orientation et modération du discours du praticien sur les réponses à apporter aux parents 7 - Quelles sont les solutions de remplacement ? • Les étapes de réalisation des solutions de remplacement de type restaurations directes, indirectes, prothétiques amovibles et fixes. 8 - Comment rédiger un certificat médical initial ? • Rédaction d’un certificat médical initial • Notion de maltraitance et démarches à suivre Prochaines sessions Du mercredi 01 février au 07 mars Du jeudi 15 février au 20 mars Du mercredi 01 mars au 04 avril Du mercredi 15 mars au 17 avril Du samedi 01 avril au 30 avril

https://www.eugenol.fr/evenements/les-traumatismes-dentaires-chez-l-enfant-8521

Les traumatismes dentaires chez l’enfant

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Si la perte des dernières dents est une épreuve et un véritable handicap pour le patient, traiter pour les réhabiliter est un défi pour le praticien et pour le prothésiste. En effet, en l’absence de repères anatomiques, disparus avec la perte des dents et de l’os alvéolaire, il est indispensable de recréer entièrement un cadre occlusal à même d’assurer l’ensemble des fonctions orales (phonation, mastication, déglutition, sourire) et permettant de retrouver une esthétique convenable. Pour y parvenir, il est nécessaire de connaître les règles intangibles de la prothèse complète. Maîtriser les techniques d’empreinte, connaître les matériaux, gérer les relations intermaxillaires et les règles de montage des dents. Il faut enfin accompagner le patient dans ce parcours thérapeutique, le guider et lui apporter conseil et maintenance prothétique. <a rel="nofollow">Objectifs pédagogiques</a> + Réaliser un examen clinique et psychologique initial. + Enregistrer de bonnes empreintes primaires et réaliser un porte-empreinte individuel adapté. + Réaliser un marginage du porte-empreinte et enregistrer une empreinte secondaire anatomo-physiologique. + Créer le nouveau cadre occlusal du patient : définir des rapports intermaxillaires à la dimension verticale correcte, en relation centrée. Communiquer au laboratoire l’ensemble des informations indispensables pour élaborer le montage des dents artificielles. + Connaître les règles de montage des dents, évaluer le montage, puis procéder à un essai clinique : vérifier notamment l’équilibre du schéma occlusal bilatéral, les critères esthétiques et fonctionnels des futures prothèses. + Connaître les points essentiels pour la séance d’insertion prothétique. Délivrer les bons conseils au patient et pouvoir répondre aux doléances. Savoir réaliser une équilibration occlusale et assurer la maintenance prothétique. + Connaître les spécificités de la prothèse complète unimaxillaire, ses impératifs. + Connaître les atouts et les limites actuelles du numérique en prothèse amovible complète. <a rel="nofollow">1 - Étapes préprothétiques</a> + La notion de position de référence mandibulaire indépendante des dents est essentielle. + La référence articulaire est plus fiable que la seule référence musculaire. + La référence articulaire est influencée par les muscles. + La référence articulaire est une position bi-condylienne reproductible, physiologiquement acceptable, techniquement enregistrable. + Le critère de reproductibilité (clinique et laboratoire) est essentiel. <a rel="nofollow">2 - Empreintes primaires</a> + Savoir lire les anomalies de l’occlusion + Les fonctions occlusales représentent les conditions physiologiques de l’affrontement des dents antagonistes dans l’ensemble des fonctions manducatrices + La trilogie des fonctions occlusales « calage, centrage, guidage » définit clairement des rapports occlusaux + Les anomalies de l’occlusion ou dysfonctions occlusales sont caractérisées par un affrontement conflictuel des arcades dentaires + On distingue les anomalies de calage, les anomalies de centrage, les anomalies de guidage <a rel="nofollow">3 - Empreintes secondaires</a> + Les positions mandibulaires reproductibles : OIM ou Relation Centrée + Choix le plus simple : renforcer l’O.I.M existante, + Par défaut d’OIM fiable : créer une nouvelle O.I.M en Relation Centrée + Algorithme de décision <a rel="nofollow">4 - Relations intermaxillaires, choix des dents et communication au laboratoire</a> + Critères de l’O.I.M fonctionnelle : centrage et calage sont satisfaisants + I.M résiduelle non affectée par le traitement + Comment simuler de l’OIM au laboratoire + Comment vérifier l’intégration occlusale de l’élément prothétique dans l’OIM initiale <a rel="nofollow">5 - Montage des dents et essai clinique</a> + Les fausses croyances + Les vrais Critères de choix + Exemples cliniques de choix + Transfert et validation de la DVO sur articulateur et au cours du traitement <a rel="nofollow">6 - Insertion prothétique, doléances et maintenance prothétique</a> + Trois déterminants prothétiques + Optimisation fonctionnelle pour sécuriser les traitements + Huit critères occluso-architecturaux des reconstructions prothétiques 7 - Spécificités de la prothèse complète unimaxillaire + Implant versus racine naturelle : absorption des forces + Implant et mécanique : axes, morphologies et forces + Implant et concept de guidage (canin ou groupe) + Restauration partielle postérieure implanto-portée + Restauration partielle antérieure implanto-portée + Grande reconstruction implanto-portée <a rel="nofollow">8 - Connaître les atouts et les limites actuelles du numérique en prothèse amovible complète</a> Arc facial ou table de montage ? + Relation Centrée en prothèse totale amovible + Dimension Verticale d’Occlusion en prothèse totale amovible + Montage des dents antérieures + Plan d’occlusion et courbe de Spee + Concept de guidage Prochaines sessions Débute le jeudi 01 février 2024 Débute le jeudi 15 février 2024 Débute le vendredi 01 mars 2024 Débute le vendredi 15 mars 2024

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